Préparée à affronter des conditions musclées, la plupart des voiliers avait frappé les bosses de ris sur leurs grands voiles, rangé les génois et spi léger, enfilé les coupes-vents et pantalons étanches…
Avec 20 nœuds établis, la ligne de départ légèrement décalée au vent, à l’abri de la houle vers le cap Feno, fût très vite franchi par les purs sangs des mers…
SY Dorade pris l’option à la côte alors que la majorité de la flotte avait pris une option route direct. SY Eileen en tête sur le bord de portant était suivi à trois longueurs par SY Argyll et à une dizaine de longueurs le peloton de tête très compact était prêt à tout moment à se glisser entre les deux voiliers à la moindre erreur des leaders. Mais cela n’arriva pas. La descente vers les Lavezzi fut, par contre, une formalité.
Le vent ayant forci avec des pointes à plus de 25 nœuds, le bord de pré vers la ligne d’arrivée fut très sportif surtout pour les équipages qui n’avaient pas pris de ris. A deux tiers du parcours, à la hauteur du grand Spérone, SY Dorade était en tête de trois longueurs, SY Argyll, meilleur en cap, commençait à lui prendre du terrain, suivi à cinq longueurs par SY Faioahe et SY Camomille. SY Olympian, très bas sur l’eau, luttait contre les vagues et dû lâcher lui aussi de l’écoute… Passé le cap Pertusato, Argyll devenait intouchable et passa la ligne en premier après 2h de course, suivi à quelques minutes par Dorade, Faioahe, Camomille et Eileen.
A 16h toute la flotte était rentrée au port, comblé par une semaine de course inoubliable autour de l’île de Beauté…
Avec 20 nœuds établis, la ligne de départ légèrement décalée au vent, à l’abri de la houle vers le cap Feno, fût très vite franchi par les purs sangs des mers…
SY Dorade pris l’option à la côte alors que la majorité de la flotte avait pris une option route direct. SY Eileen en tête sur le bord de portant était suivi à trois longueurs par SY Argyll et à une dizaine de longueurs le peloton de tête très compact était prêt à tout moment à se glisser entre les deux voiliers à la moindre erreur des leaders. Mais cela n’arriva pas. La descente vers les Lavezzi fut, par contre, une formalité.
Le vent ayant forci avec des pointes à plus de 25 nœuds, le bord de pré vers la ligne d’arrivée fut très sportif surtout pour les équipages qui n’avaient pas pris de ris. A deux tiers du parcours, à la hauteur du grand Spérone, SY Dorade était en tête de trois longueurs, SY Argyll, meilleur en cap, commençait à lui prendre du terrain, suivi à cinq longueurs par SY Faioahe et SY Camomille. SY Olympian, très bas sur l’eau, luttait contre les vagues et dû lâcher lui aussi de l’écoute… Passé le cap Pertusato, Argyll devenait intouchable et passa la ligne en premier après 2h de course, suivi à quelques minutes par Dorade, Faioahe, Camomille et Eileen.
A 16h toute la flotte était rentrée au port, comblé par une semaine de course inoubliable autour de l’île de Beauté…